Je vous emmène aujourd'hui à la découverte de l'une des formes d'expressions de jazz, certes relativement récentes, mais qui n'en reste pas moins des plus spirituelles. Un nouveau genre musical qu'on pourrait légitimement appeler: jazz soufi.
Le jazz est un art encore très peu exploité par la culture musicale arabo-musulmane, on retrouve effectivement très peu de collaborations d'artistes. Pour ceux qu'on dénombre, les pionniers sont sans conteste les Rabih Abou-Khalil et Anouar Brahem.
Ce genre particulier mêle subtilement des ossatures harmoniques empruntées au jazz aux chants, poésie et mélodies soufis.
Je vous propose d'écouter un jazz soufi tunisio-suisse; fruit de la collaboration entre deux grandes pointures Mounir Troudi et Erik Truffaz.
Le texte chanté par M. Troudi est de l'illustre poète soufi Mansur Al Hallaj (né en 857 en perse et mort en 922 à Bagdad) dit dans sa version originale:
Le jazz est un art encore très peu exploité par la culture musicale arabo-musulmane, on retrouve effectivement très peu de collaborations d'artistes. Pour ceux qu'on dénombre, les pionniers sont sans conteste les Rabih Abou-Khalil et Anouar Brahem.
Ce genre particulier mêle subtilement des ossatures harmoniques empruntées au jazz aux chants, poésie et mélodies soufis.
Je vous propose d'écouter un jazz soufi tunisio-suisse; fruit de la collaboration entre deux grandes pointures Mounir Troudi et Erik Truffaz.
Le texte chanté par M. Troudi est de l'illustre poète soufi Mansur Al Hallaj (né en 857 en perse et mort en 922 à Bagdad) dit dans sa version originale:
يا نسيم الريح قولى للرشا لم يزدنى الورد إلا عطشا
لحبيب حبه ملأ الحشا إن يشا يمشى على خدى مشى
روحه روحى وروحى روحه إن يشا شئت وإن شئت يشا
Curzio